Google veut éviter à Android Wear de se transformer en une plateforme que n'importe quel constructeur peut utiliser comme il l'entend — en somme, lui éviter le syndrome « open bar » qui permet à un fabricant de tripatouiller Android selon son bon vouloir, même si Google a depuis quelques temps resserré les boulons autour de son système d'exploitation mobile. L'ouverture est beaucoup plus limitée pour la plateforme « wearable » : pas question de laisser n'importe qui utiliser Android Wear sans autorisation préalable. C'est la mésaventure arrivée à Com 1 qui a proposé sur Indiegogo de financer la production d'une montre connectée équipée d'Android Wear. Cette smartwatch avait comme particularité, non seulement de fonctionner sous Android Wear, mais d'être également un foudre de guerre avec ses 3 Go de RAM et 32 Go de stockage (rappelons que l'on parle d'une montre), le Wi-Fi, le
Bluetooth, un tuner FM, une batterie d'une capacité de... Lire la suite sur iGeneration