Les majors de l'industrie du cinéma en ont toujours après Google, à qui elles reprochent de continuer à lister des liens vers des fichiers piratés (le moteur de recherche a pourtant déréférencé 220 millions de pages web sur le sujet). Plusieurs initiatives ont déjà été mises sur pied, comme SOPA (Stop Online Piracy Act), un projet de loi déposé en 2011 qui n'a finalement jamais été voté en raison de l'opposition continue des fournisseurs d'accès et de la mobilisation de leurs utilisateurs. La fuite en masse des documents de Sony suite à un piratage des serveurs du groupe n'a pas seulement permis de lever un coin du voile sur les coulisses crapoteuses du film sur
Steve Jobs (lire : Le making-of houleux du prochain biopic sur Steve Jobs); elle révèle aussi la volonté renouvelée de l'industrie de mettre un terme au piratage de leurs œuvres en utilisant des techniques de blocage de sites, tout en jetant l'opprobre judiciaire Google. Le moteur... Lire la suite sur iGeneration