Apple étendant progressivement ses champs de compétence à d'autres secteurs que les ordinateurs (dont certains sont inattendus, comme la santé), il faut à l'entreprise investir aussi dans le lobbying, une activité qui a pignon sur rue outre Atlantique… et notamment à Washington, la capitale fédérale où se concentre l'essentiel du pouvoir. Tim Cook n'hésite jamais à y faire un tour afin de rencontrer en personne des représentants et des sénateurs afin de faire valoir les vues d'Apple sur tel ou tel sujet. Cela a ainsi été le cas en décembre dernier, comme le rapporte Bloomberg. La surface des activités d'Apple à l'époque de
Steve Jobs ne poussait pas nécessairement le fondateur à aller expliquer les points de vue de l'entreprise ni à pousser les législations dans un sens plus favorable. Steve Jobs n'avait sans doute pas non plus le même goût du lobbying que son successeur. Malgré tout, les dépenses de lobbying d'Apple restent bien en... Lire la suite sur MacGeneration