On ne donnait pas cher de la peau de
BlackBerry, qui en loupant le coche des smartphones tactiles puis celui des tablettes, s’est laissé dépasser alors que le constructeur canadien a dominé le marché de la tête et des épaules pendant des années. John Chen, le patron de l’ex RIM depuis novembre 2013, a recentré le constructeur sur son marché de niche : l’entreprise, les agences gouvernementales et la sécurité, mettant la pédale douce sur le matériel et accélérant le déploiement de ses solutions logicielles — quitte à en faire profiter d’autres plateformes, comme la messagerie BBM sur iOS et Android, ou ses logiciels de sécurité et de MDM. Cérdit Reuters. Et le pari commence à payer. Certes, les années de vache grasse sont derrière BlackBerry, mais au moins l’entreprise ne perd plus d’argent. Durant son quatrième trimestre 2014 (qui recouvre les mois de décembre, janvier et février), l’entreprise a généré 28 millions de dollars de bénéfices, alors qu’elle accusait une perte de 148... Lire la suite sur iGeneration